Au cœur de son analyse, il met en lumière l’apparition d’une « ligne de partage » au sein de la société, une forme de discrimination qui, selon lui, marginalise une partie significative de la population. « Il existe une véritable fracture, une forme de discrimination dont souffrent de nombreux Sénégalais », a-t-il averti. Pour Alioune Tine, cette division est directement attribuable aux choix du nouveau pouvoir en place.
« Nous sommes à un moment crucial », a-t-il souligné, plaidant pour un « dialogue rénové » et une gouvernance plus inclusive. Il a appelé le gouvernement à s’engager davantage avec l’ensemble de la société, au lieu de se concentrer uniquement sur ses partisans, afin de prévenir une rupture encore plus profonde au sein de la nation.